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Commune de Saint Aunès

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Histoire et Patrimoine

 
Les premières traces de civilisation sur le territoire de Saint-Aunès remontent à l’époque de la domination romaine en Gaule narbonnaise.
Borne Milliaire
Borne Milliaire

Epoque romaine

A cette époque, le village était constitué de deux ou trois beaux domaines situés le long du parcours de la grande voie Domitienne.

De cette voie, demeure la borne Milliaire placée contre l’église depuis le XVIIIème siècle, dont le texte rappelle la réfection de la route en l’an 30 après J.C. Plantées au bord de la route chaque 1481 mètres, ces bornes servaient tout à la fois d’indicateur de distance par leur numéro et de piédestal aux cavaliers voulant se mettre en selle.





Au temps des Gaulois

Mas Doscares
Mas Doscares

A l’époque gauloise, les principaux domaines du village étaient tenus par d’anciens officiers Romains récompensés pour leur bravoure, il s’agit de l’Auroux, Mezouls, et Doscares.

Le domaine de l’Auroux constituait avec son église le centre de la vie religieuse jusqu’au XVIIIème siècle.








Les origines du nom

L'église
L’église

Quant à l’origine du nom « Saint-Aunès », il faut remonter à l’an 304 où une jeune martyre de 14 ans, nommée, Sainte Agnès, fut décapitée pour avoir refusé les avances d’un Sénateur romain païen.

La jeune fille avait sans doute été vénérée par les premiers chrétiens de l’Auroux dès les Vème – VIème siècles pour que son nom ait ainsi été donné à une église locale au Xème siècle, dont les pierres servirent à l’édification de l’église actuelle de Saint-Aunès.





Focus sur Albert Dubout (Marseille 1905 – Saint-Aunès 1976)

Albert Dubout
Albert Dubout

Dessinateur et illustrateur, Albert Dubout a marqué de nombreuses générations par ses dessins humoristiques. Il est réellement devenu célèbre par la réalisation des affiches de cinéma de Marcel Pagnol, avec qui il est resté très ami.

Le groupe scolaire de Saint-Aunès a ainsi pris son nom en hommage à ses années passées sur la commune. La fresque de l’école primaire a été réalisée pour le centenaire de sa naissance.

Citation dans le Larousse « Auteur de compositions à nombreux personnages burlesques, publiés dans les journaux et réunis en album. Il recherche les effets de grosse cocasserie, aussi bien dans les figures que dans les menus détails du costume et des attitudes. »

Devoir de mémoire

A l’occasion du centenaire de la 1ère guerre mondiale, le Général Macquet a effectué de nombreuses recherches afin de mieux connaître et honorer nos soldats morts pour la France. L’ensemble des informations récoltées sur ces soldats sont désormais lues lors des cérémonies commémoratives au monument aux morts. Merci de nous contacter si vous disposez de renseignements complémentaires ou de photos à transmettre au Général Macquet.

Actualisée juillet 2015

COMMUNE DE SAINT-AUNES LISTE DES SOLDATS MORTS POUR LA FRANCE PRESENTATION CHRONOLOGIQUE

EN 1914 SONT MORTS POUR LA FRANCE

Le Médecin Militaire de Réserve du 111° Régiment d’Infanterie MARCORELLES Marie Etienne Joseph • Tué à l’ennemi le 20 août au nord de Dieuze dans la Moselle avec tous ses infirmiers et ses brancardiers à l’âge de 28 ans. • Son corps a disparu dans les combats.

Le Soldat du 341° Régiment d’Infanterie GAREBLE Alfred Jules • Tué à l’ennemi le 10 septembre 1914 au Signal de Saint Heippes dans la Meuse au sud de Verdun à l’âge de 30 ans • Son corps a disparu dans les combats

Le Caporal du 67° Régiment d’Infanterie HAMEL Etienne Anthelme Marie Paul • Meurt des suites de ses blessures de guerre à Mouilly Saint Rémy dans la Meuse au sud de Verdun à l’âge de 27 ans.

Le Soldat du 81° Régiment d’Infanterie DANES Jean Marie • Tué à l’ennemi le 11 novembre 1914 lors de la bataille d’Ypres en Belgique à 31 ans

EN 1915, SONT MORTS POUR LA FRANCE

Le Caporal du 4° Régiment d’Infanterie Coloniale DE ROUCH Maurice Jean • Tué à l’ennemi le 3 février 1915 dans la Marne à l’âge de 31 ans

Le Soldat du 343° Régiment d’Infanterie COMTE Marie Joseph François André • Tué à l’ennemi le 8 avril 1915 dans les Vosges à 27 ans

Le Soldat au 173° Régiment d’Infanterie CAUCAT Joseph Pierre • Tué à l’ennemi le 14 juillet 1915 dans la Marne à 23 ans

EN 1916, SONT MORTS POUR LA FRANCE

Le Lieutenant de réserve du 6° Bataillon de Chasseurs MARCORELLES Marie Henri Jean, Prêtre du diocèse de Marseille • Tué lors d’un assaut à la tête de sa 3° compagnie le 15 mars 1916 en Alsace à 33 ans

Le Caporal au 269° Régiment d’Infanterie COMTE Jean Marie Joseph Baptiste • Grièvement blessé, meurt des suites de ses blessures à l’hôpital de Montereau le 24 mai 1916 à 29 ans

Le Caporal au 96° Régiment d’Infanterie DUVERGER Louis Augustin • Tué à l’ennemi le 4 août 1916 à Chaumont Meuse à 30 ans • Son corps a disparu dans les combats

Le Caporal au 226° Régiment d’Infanterie TONDUT Hippolyte • Tué à l’ennemi, le 20 septembre 1916 à Cléry dans la Somme à 37 ans.

EN 1918 SONT MORTS POUR LA FRANCE

Le Maréchal des Logis au 7° Régiment de Hussard ITIER Jean Marie Antonin • Meurt des séquelles des combats à l’Hôpital Complémentaire n° 38 de Béziers à 26 ans

Le Soldat du 81° Régiment d’Infanterie RIEU Marie Joseph François • Tué à l’ennemi le 3 mai 1918 à Roesbrugge en Belgique à 34 ans • Sépulture : Nécropole Nationale Notre Dame de Lorette dans le Pas de Calais

Le Lieutenant Observateur d’Artillerie du 111° Régiment d’Artillerie Lourde NODET Joseph Marie Pierre • Aviateur au 2° Groupe d’Aviation, tué en Combat aérien le 18 juillet 1918 ferme de la Loge Aisne à 24 ans • Sépulture : cimetière de Saint-Aunès

Le Sergent Major au 2° Régiment du Génie, PICHOT Camille Gaston • Détaché au 14° russe meurt des séquelles des combats le 18 octobre 1918 à l’hôpital de Salonique en Grèce à 29 ans

EN 1919 EST MORT POUR LA FRANCE

Le Caporal au 163° régiment d’Infanterie LOUVRIER Jean Vincent • Porté disparu, prisonnier de guerre le 28 mars 1916 à Malancourt dans la Meuse • Meurt à Rastadt des séquelles de la guerre au centre de rapatriement des prisonniers à 28 ans • Sépulture : Nécropole Nationale des Prisonniers de Guerre Français à Sarrebourg en Moselle

SONT MORTS POUR LA FRANCE AU COURS DE LA SECONDE GUERRE MONDIALE

Le Sergent au 21° Régiment d’Infanterie de Chars de Marine GAILLARD Henri Antoine Jules • Meurt des séquelles de la guerre, en captivité le 20 juillet 1942 à Wels Prusse Allemagne à 32 ans

Les deux enfants de Saint-Aunès : • Janine BONNIEU • Jean Pierre BRUGUIERE

EST MORT POUR LA FRANCE AU COURS DE LA GUERRE D’ALGERIE

Le Soldat POURREAU Jean Claude Gérard • Le 25 décembre 1958 à Alger à 19 ans • Sa sépulture est située dans le cimetière de Castelnau le Lez

LISTE ETABLIE PAR LE GENERAL MACQUET JUILLET 2015

 

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